Floriane Soulas

« Un bon bêta-lecteur n’a pas notre affect quand on a la tête dans le guidon, il est là pour t’aider à trancher »

Podcast   •   10 novembre 2021
Floriane Soulas
Comme le disait Stephen King, Kill your Darlings. C'est ça l'importance d'un bon beta (lecteur). Il n'a pas cet affect qu'on a quand on a la tête dans le guidon, qu'on est tout le temps dedans, qu'on vit avec ses personnages. [...] Il voit des choses que tu ne vois plus, il est là pour t'aider [notamment à trancher].

Floriane Soulas est ingénieure, docteure et autrice de trois romans et de plusieurs nouvelles, couvrant de nombreux genres de l’imaginaire, de la fantasy à la science-fiction. De « Rouille » aux « Oubliés de l’Amas », elle nous parle de sa vie créative, de son travail d’autrice et de ses projets.

Dans cet épisode, Floriane nous parle :

  • de sa formation et de sa thèse ;
  • de ses débuts dans l’écriture ;
  • des appels à texte et de ses premières nouvelles publiées ;
  • de l’importance du vécu dans l’écriture ;
  • du process d’écriture et de la nécessité d’abandonner des idées pour avancer ;
  • du rôle des bêta-lecteurs ;
  • de son premier roman « Rouille » ;
  • de la relation des jeunes adultes aux sujets de Société dans la fiction ;
  • des « Noces de la Renarde » ;
  • du Japon ;
  • des aléas du process d’écriture ;
  • de son roman « Les Oubliés de l’Amas » ;
  • de science-fiction ;
  • du rôle des prisons et de la rédemption ;
  • de l’individu et des effets de groupes ;
  • de l’anthologie « Par-delà l’Horizon ».
  • de la fatigue et de l’injonction à la production intensive ;
  • de son organisation pour écrire ;
  • et de plein d’autres choses qui font le sel de ce podcast qui fourmille d’idées, de sagesse et de passion.

Ses liens principaux :

Le podcast Double Vie est animé par Mickaël Rémond, entrepreneur et auteur. En menant cette double vie, il a décidé de rencontrer et d’interviewer celles et ceux qui, comme lui, réinventent le monde grâce à la fiction.


Crédits :
• Montage : Grégoire Levillain
• Illustrations : Pauline Pourcelot