Hello les amies,
Le rythme de l’histoire est toujours une question existentielle. Pour garder l’attention et l’intérêt du lecteur, quand peut-on se permettre de ralentir ?
La facilité, c’est d’être tout le temps à fond. Actions, péripéties, rebondissements qui s’enchaînent. Mais il y a un risque, malgré tout d’être dans le trop, d’insensibiliser le lecteur et de dévaloriser ce qui pourrait finalement faire l’objet d’un climax mémorable.
Tout est dans le rythme, et je crois que c’est dans ces scènes intermédiaires qui posent l’ambiance et font redescendre la tension que l’on voit le talent de l’auteurice.
Voilà, c’était l’avertissement obligatoire sur les doutes de l’écrivain, avant que vous livrer un chapitre 20, qui peut marcher… ou pas.