Hello les amies,
Le rythme du roman s’accélère à mesure que j’en dessine la fin. Je suis toujours aussi grisé lorsque des éléments d’intrigue que j’ai mis en place il y a presque un an rejoignent le cours de l’intrigue. Et je suis un peu chafouin lorsque je dois noter un point mineur qu’il me faudra changer dans la version finale. Bouh, ce sont les aléas de l’écriture épisodique, et c’est pour ça que j’aime cette approche, ce plaisir indescriptible de constater que l’ordre gagne le récit, même satisfaction que lorsque, enfants, nous voyions les bisounours redonner leurs couleurs à Dreamland.