Alors, voilà, les ami·es,
J’ai écrit.
Je vous dis ça comme on avance sur un chemin et qu’on se retrouve soudain face au gouffre. La fin d’un roman est comme le bout de ce chemin qu’on arpente depuis… depuis toujours. On se retourne pour contempler le chemin parcouru. L’aventure, quand on fait la somme de ses pas, est un peu écrasante et la perspective angoissante.
Alors, voilà.